INFOGRAPHIE. Pourquoi les spéculateurs s'ingénient à miser gros sur l'infortune de la multinationale québécoise?
LES TEXTES QUI NOUS ONT MARQUÉS CETTE SEMAINE
La poule ET l’œuf! Vous n’avez rien suivi du scandale des œufs contaminés au fipronil qui touche la Suisse, l’Allemagne, la Suède et le Royaume-Uni, la France et dont l’épicentre se trouve en Belgique et aux Pays-Bas? Le Monde synthétise en neuf questions l’affaire du biocide visant à éradiquer le pou rouge qui fait marcher les autorités, les éleveurs et les consommateurs européens sur des œufs…
La nouvelle politique nataliste (2e enfant autorisé) dope la génomique en Chine. Le géant chinois BGI va ouvrir son capital en Bourse, point culminant de sa retentissante transformation en une entreprise biomédicale, axée sur la santé reproductive. BGI, impliquée dans le séquençage des génomes du riz, du panda géant et du concombre, veut jouer un rôle pionnier sur le marché de la médecine personnalisée, lequel devrait approcher les 20 milliards de yuans en 2020 (environ 3 milliards de dollars).
Les végétariens britanniques devront continuer à utiliser des billets de banque du Royaume-Uni qui contiennent des traces de graisse animale. La Banque d’Angleterre a décidé de ne pas changer pour un autre produit tout aussi controversé: l’huile de palme. Cette dernière était proposée comme seule alternative, mais cela coûterait 16,5 millions de livres (21,4 millions de dollars) sur 10 ans et le Trésor a déclaré que ce n’était pas un bon rapport qualité-prix pour les contribuables.
Le Monde diplomatique présente l’«Histoire d’une passion américaine»: l’air conditionné. Ce dernier représente chaque année 6% de l’électricité produite aux États-Unis (grâce souvent au charbon). À cela, il faut ajouter l’énergie qui fait fonctionner les climatiseurs des voitures, soit 26 à 38 milliards de litres de pétrole par an. Cette conquête entamée au début du XXe siècle a remodelé le pays, sa géographie, son urbanisme, ses loisirs, ses modes de consommation, de sociabilité, et même ses pratiques sexuelles…
Les dirigeants européens ont donné leur feu vert fin juin dernier au prolongement des lourdes sanctions économiques imposées par l’UE à la Russie pour son rôle présumé dans le conflit ukrainien. De quoi faire fleurir l’aquaculture russe, rappelle Reuters. Les fjords de l’Arctique qui regorgeaient de sous-marins nucléaires grouillent dorénavant de saumons en cage. Au cours des cinq à dix prochaines années, l’aquaculture russe vise à augmenter sa production pour produire 25 000 à 30 000 tonnes de poisson par an.
Le premier semestre a confirmé la tendance positive pour le financement de l’innovation en Europe, avec un total de près de 8 milliards de dollars (...)
Le PDG de Walt Disney(DIS, 101,82$US), Robert Iger, a beau figurer parmi les dirigeants les plus respectés des États-Unis, sa décision de mettre fin à (...)